La grécité de la Macédoine est gravée dans la pierre…

macedonia archaeology The Greekness of Macedonia is engraved in a Stone

La grécité de la Macédoine est gravée dans la pierre…
Et les pierres ne mentent pas.

Dean Lomis, Ph.D., 57e Convention panmacédonienne, 3 juillet 2003

La controverse autour du nom

Macédoine (environ 10 %). Il est approprié de noter que 10 % de la Macédoine ancienne
comprise dans la République populaire de Macédoine de Tito (aujourd’hui l’ARYM) consiste
seulement en 1/5 du territoire de cette république et que les 4/5 restants sont issus de la
Yougoslavie slave. L’unique but de la création de la République socialiste sous le nom de
« Macédoine » était l’éventuelle revendication et l’incorporation de la province grecque de
Macédoine à la Yougoslavie communiste, avec le port de Thessalonique comme trophée.
Alors le secrétaire d’État Edward Stettinius a envoyé une circulaire par valise diplomatique
(868.014), du Département d’État des relations étrangères des É.-U., le 26 décembre 1944, à
tout le personnel consulaire, l’informant que l’acte de création d’une « Macédoine » séparée
était « une agression larvée contre la Grèce ». « Le Département a constaté avec une grande
appréhension l’accroissement des rumeurs de propagande et des communiqués semi-officiels
en faveur d’une Macédoine autonome provenant de la Bulgarie, et aussi des alliés de la
Yougoslavie et d’autres sources insinuant que le territoire grec serait compris dans le projet
d’État. Ce gouvernement considère une discussion d’une « nation macédonienne », de « la
mère-patrie macédonienne », ou de « la conscience nationale macédonienne » comme étant
une démagogie injustifiée ne représentant pas une réalité ethnique ou politique, et voit aussi
dans ce renouveau actuel une intention à peine voilée d’agression contre la Grèce. »

Après 1944, une campagne systématique et délibérée était entreprise en faveur de la
république du sud de la Yougoslavie afin de s’approprier l’histoire de la Macédoine ancienne.
Des « spécialistes » ont été chargés de récrire leurs manuels d’histoire en adoptant celle de la
Macédoine ancienne comme étant la leur, accompagnés de cartes trafiquées indiquant leur
« Macédoine » qui comprenait tout le territoire de la moitié nord du mont Olympe. De plus,
des « linguistes » ont été appelés à créer un alphabet et à peaufiner une nouvelle langue
« macédonienne » afin, bien entendu, qu’elle puisse sembler issue d’un « développement
naturel » d’une langue de la Macédoine ancienne. Cependant, grammaticalement, cette
langue est presque identique à la langue bulgare avec plusieurs mots serbo-croates remplaçant
les mots bulgares.

Ces pseudo-Macédoniens ont manifestement négligé le fait incontestable que les habitants
de la Macédoine ancienne étaient des Hellènes et qu’ils parlaient le grec. De nombreuses
fouilles dans toute la Macédoine ancienne, le territoire de la Macédoine ancienne, n’ont
cessé d’exhumer des vestiges portant des inscriptions purement helléniques et des representations

 de souverains désignés visiblement par des noms helléniques.

En septembre 1991, cette république s’est déclarée indépendante de la Yougoslavie pour
s’appeler la « République de Macédoine ». On a dessiné un nouveau drapeau avec le soleil de
Vergina au centre et imprimé une nouvelle monnaie portant la Tour blanche de
Thessalonique, symboles évidents de la province de la Grèce du Nord. À cause de ces actions
et de certains articles dans sa constitution, qui insinuaient que le nouveau pays avait des
droits territoriaux sur tout le territoire de la Macédoine ancienne, la Grèce a imposé un
embargo sur le commerce et a empêché tout échange commercial à la frontière nord de son
territoire. À contrecoeur, la Grèce a levé l’embargo commercial lorsque l’ARYM a proposé et
adopté un nouveau drapeau, cessé l’émission de la nouvelle monnaie représentant la Tour
blanche de Thessalonique, et voté des amendements à la constitution impliquant le
renoncement à tout droit territorial en dehors de ses frontières actuelles. Toutefois, la Grèce
a continué de s’opposer à l’utilisation du nom de Macédoine. À cause de l’objection de la
Grèce, les Nations Unies ont accepté cette nation en tant que nouveau membre avec le nom
temporaire d’« Ancienne République yougoslave de Macédoine (ARYM) » [Résolutions de
l’ONU no 817 du 7 avril et no 845 du 18 juin 1993] jusqu’à ce qu’une solution permanente
soit trouvée.

Cependant, leur campagne systématique et délibérée de distorsion, de vol et d’appropriation
de l’histoire et de l’ethnicité des Macédoniens anciens s’est intensifiée et continue
aujourd’hui avec une vigueur irrépressible. Bien que ce pays soit connu officiellement sous le
nom d’ARYM, grâce à une campagne énergique, ils ont réussi à trouver le moyen de se faire
appeler « Macédoine » par tout le monde dans l’usage quotidien, et ce, malgré les résolutions
des Nations Unies. L’internet et les communications de masse leur ayant facilité la tâche, ils
ont utilisé ces outils pour créer un déluge de désinformation.

Cette grave distorsion historique doit cesser et être corrigée !

(Le texte ci-dessus a été adapté de What’s in a Name
de V. Gatzoulis et de Marcus A.Templar.)

Vassilios Gatzoulis est aujourd’hui ingénieur électricien à la retraite du ministère de la Marine des É.-U. Il aexercé la fonction de président du Chapitre de Thesseum no 248 de l’Ordre du AHEPA. Il est actuellement
président de la Société hellénique Paideia du New Hampshire et membre de l’Association panmacédonienne
des É.-U.

Le professeur Marcus A. Templar a servi dans le Corps de renseignements de l’Armée des É.-U.

pendant une trentaine d’années. Il est diplômé du Collège des renseignements de la Défense nationale, est un expert
reconnu concernant les Balkans, de même qu’un slaviste spécialisé dans l’histoire, le peuple et la langue des
Slaves du sud (ARYM) et des Bulgares.

 Traduction | Michèle Lavigne

In English: The Greekness of Macedonia is engraved in a Stone

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Comments
ΑΡΧΑΙΟΣ ΧΡΙΣΤΙΑΝΟΣ says:

Au lieu de se joindre aux Hellènes et à l’Hellénisme et contre les Albanais qui guettent toujours et attendent le moment opportun pour exiger et revendiquer ouvertement et sérieusement cette fois leurs droits civils et politiques,les Slaves de Skopje choisissent et préfèrent la voie et le chemin facile,une ”solution” de facilité,en toute simplicité,de l’isolement et du piégeage par eux-mêmes,quelque chose qui sera payé très cher,un lourd tribut,plus tard,comme toutes les indications disponibles nous montrent et dirigent..